"Mademoiselle Mengele" de Viola Sterne Fischerová et Veronika Homolová Tóthová

"À 20 ans, en camp de concentration dans les mains d'un bourreau.
Voici mon histoire"

Quatrième de couverture : Mademoiselle Mengele... pourquoi ce nom ? Les jeunes femmes choisies par le monstre d'Auschwitz lors de leur arrivée au camps étaient appelées "les filles de Mengele".
Elle a 20 ans quand la Seconde Guerre mondiale et le nazisme broient sa famille et son existence. elle saura pourtant surmonter l'indicble.
Au soir de sa vie, elle s'est confiée et a raconté son histoire, telle qu'elle demeurait dans ses souvenirs.

En 1 mot : Bouleversant

Mon avis : Ce livre est époustouflant de par son contenu mais aussi, et surtout, de par son écriture. Qulle claque !
Malgré les atrocités racontées (âmes sensibles attention ! Certains passages sont très difficiles à lire), Viola est remplie de bonté, elle est empathique, et désireuse de comprendre.
Son écriture est empreinte de douceur et de douleur. Ces 2 sentiments, pourtant diamétralement differents, s'entrelacent pour donner une histoire attachante mais aussi cauchemardesque, où la colère et la révolte se mêlent à la tendresse et au courage.
Un ouvrage que je ne suis pas prête d'oublier. 

Ma note : ♥

Cette lecture permet de valider : la catégorie 42 du Défi Lecture FB 2025 : Livre traitant de la déportation durant la Deuxième Guerre mondiale.
Ainsi que ma première étape de mon Tour du Monde en 80 livres de Bidib --> la Slovaquie.
En pour finir, je coche la case "Slovaquie" de ma Coupe d'Europe Livresque 2024.

Éditions De Borée, collection Histoire & Documents, 2018
349 pages

"Amarok" (Carthago Adventures, tome 4) de Christophe Bec, Drazen Kovacevic et Giles Daoust

 

Résumé : London Donovan et le centenaire des Carpates se lancent dans une nouvelles traque ! Sur les traces de l'Amarok, un loup géant du grand Nord canadien, ils s'aventurent dans des paysages de neige et de glace. Lorsqu'ils découvrent que l'Amarok chasse en meute, la chasse s'avère plus dangereuse que prévue. De l'homme et du loup, qui sera le prédateur ?
Réunissant à nouveau le duo de choc formé par London Donovan et le centenaire des Carpates, cet épisode haletant fait la par belle à l'action. (BDGest)

En 1 mot : Sanglant

Mon avis : Quatrième tome de cette série, un tome qui ne m'a pas emportée.
Je suis toujours aussi fan des dessins, qui sont comme dans les autres tomes, beaux, colorés, réalistes, détaillés. Un vrai plaisir pour le regard.
Ce qui m'a déplu dans cet opus est l'histoire. J'ai trouvé qu'il y avait trop de sang et trop de morts, humaines et animales, pour un but final somme tout assez futile... 

Ma note : ♥ ♥ ♥ ♥

Éditions Les Humanoïdes Associés, 2016
54 pages

"La Guinguette" de Bernard Clavel

 

Quatrième de couverture : La Guinguette est de cette race de femmes exceptionnelles qui, de mère Courage à Ennemonde, de Casque d'Or à Gervaise marquent la littérature universelle. Elle se bat dans la pauvreté du petit peuple des bords du Rhône. Faite aux folies du fleuve, elle ne se résigne pas à celles, plus meurtrières encore, des hommes. Pour venger son fils, elle sacrifiera tout jusqu'à ce que justice soit faite. Nous ne pourrons pas oublier son cri déchirant.
Poussé par ce personnage unique, Bernard Clavel revient au Rhône sauvage d'avant la canalisation. Il y retrouve ces tempéraments hors du commun dont la générosité et le destin se fracassent sur des flots implacables. Les âmes simples en sont les vraies divinités. Bernard Clavel renoue avec elles les fils de la tragédie antique. comme lui, nous souffrons les poings serrés, ivres de colère et brisés d'émotion.

En 1 mot : Émouvant 

Mon avis : Dans ce récit poignant, l'auteur parvient à capturer la profondeur des émotions d'une mère qui a perdu son fils dans des circonstances déplorables. Son énorme amour pour lui est palpable, même si elle choisit de le dissimuler derrière une façade de force, surtout lorsqu'elle est confrontée aux regards de son entourage.
Le style d'écriture, empreint de sensibilité, permet au lecteur de ressentir chaque nuance de son chagrin. Par ailleurs, l'auteur réussit à ancrer l'histoire dans un contexte régional, imprégnant le récit d'un parfum de terroir qui renforce l'authenticité et le désarroi de cette mère venant du "petit peuple".
Ce livre est une véritable ode à l'amour maternel, tout en étant un témoignage vibrant de la vie quotidienne des hameaux qui longent le Rhône.

Ma note : ♥ 

Cette lecture permet de valider : la catégorie 92 du Défi Lecture FB 2024 : Couverture qui contient un symbolede chance ou de malchance --> Un chat noir

Éditions Albin Michel (Le Grand Livre du Mois), 1997
220 pages

"Dieu est un pote à moi" (tome 1) de Cyril Massarotto

 

Quatrième de couverture : Pour élire son confident Dieu n'avait que l'embarras du choix. Comment expliquer qu'il ait opté pour un modeste vendeur, au quotidien banal et sans relief ? Dieu seul le sait et pourtant, au fil de leur conversation, une véritable amitié se noue entre eux...
Quand le narrateur rencontre derrière sa caisse Alice, jolie étudiante en psychologie, quelques coups de pouce de son nouveau meilleur ami vont fait faire des miracles.
Et ce n'est que le début ! 

En 1 mot : Philosophique

Mon avis : "Dieu est un pote à moi" est un chouette roman qui réussit à marier subtilement humour et émotions. Le personnage principal est attachant et il nous entraine dans ses aventures de la vie, où le rire et les sourires côtoient les réflexions profondes.
L'auteur a une écriture légère et accessible pour aborder des thèmes universels (la vie, l'amour, la solitude, la mort,...) tout en glissant une touche philosophique (et non religieuse, comme pourrait le faire croire le titre) qui invite à s'interroger sur le sens de la vie ainsi qu'une bonne dose d'humour.
J'ai eu l'impression, en lisant cette histoire, de faire un voyage, celui de la vie, agrémenté de moments cocasses et émouvants.

Ma note : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Cette lecture me permet de valider : la catégorie 11 du Défi Lecture FB 2024 : Auteur dont le nom ou le prénom contient 2 paires de doubles lettres.

Éditions France Loisirs, 2013
244 pages

"La prime" (Stéphanie Plum, tome 1) de Janet Evanovich

 

Quatrième de couverture : Adieu froufrous, adieu dentelles. La lingerie, c'est fini. Stéphanie Plum, trente ans, n'a plus de boulot. Sa télé est au clou, son frigo est vide et elle désespère.
Heureusement, il y a son cousin Vinnie ! Il dirige une agence de cautionnement et cherche un chasseur de primes... Elle décroche le job et se retrouve sur les traces de Joe Morelli, un flic accusé de meurtre. Un malin, un dur, un séducteur...
D'ailleurs, ce ne serait pas le même Joe Morelli qui l'a séduite et abandonnée lorsqu'elle avait seize ans ? Une raison de plus pour le retrouver ! 

En 4 mots : Dynamique, humour, réalisme, simplicité.

Mon avis : Un roman que j'ai commencé avec réticence car il était annoncé sur les différentes plateformes livresques comme de la "chick-lit". Et en fait... Pas du tout. C'est une enquête qui démarre sur les chapeaux de roue.
Stéphanie est super sympa, et, bien que dépourvue de super pouvoirs et de formation spécifique pour mener sa première "chasse à l'homme", elle compense par son incroyable perspicacité et sa détermination sans faille. Son charme réside dans sa capacité à naviguer avec beaucoup d'humour et légèreté à travers les méandres complexes de cette première enquête.
À ses "côtés", un policier en cavale, à l'apparence rude, mais dont la bienveillance se dévoile peu à peu. Ils forment un duo inattendu et attachant. Ensemble, ils plongent dans une affaire pleine de rebondissements.
Le récit est rythmé, sans aucun temps mort, et l'humour omniprésent, rendant cette enquête aussi palpitante qu'agréable. Une véritable réussite et un beau coup de cœur pour cette héroïne, sans cape ni gadgets, et pour son acolyte policier ayant le rôle du gros dur dans la mouise, qui s'attendri au contact de Stéphanie.       

Ma note : ♥   

Cette lecture permet de valider : la catégorie 38 du Défi Lecture FB 2024 : Livre contenant une expression en rapport avec les animaux --> Crier comme un cochon qu'on égorge.    

Éditions Pocket, 2004
332 pages